Lundi 26 mars 1962 à Alger.
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6.1 - Alger Plateau des Glières Lundi 26 mars 1962 |
ALGER Plateau des Glières Lundi 26 mars 1962
La tuerie dite de la rue d'Isly - Le grand silence Un assassinat collectif sur ordre du sommet de d'Etat
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III - Histoire et récits -
Lundi 26 mars 1962 à Alger.
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Tract publié dans « Un crime sans assassins » Francine DESSAIGNE
Tract du Colonel Vaudrey distribué dans la matinée du 26 mars.
ORGANISATION ARMÉE SECRÈTE
ZONE ALGER SAHEL
26.3.62 T.Z. 109
HALTE A L’ETRANGLEMENT DE BAB EL OUED
Une opération monstrueuse, sans précédent dans l’histoire, est engagée depuis trois jours contre nos concitoyens de Bab el Oued, on affame 50.000 hommes, femmes, enfants, vieillards, encerclés dans,un immense ghetto, pour obtenir d’eux par la force, par la famine, par l’épidémie, par "tous les moyens", ce que le Pouvoir n’a jamais pu obtenir autrement : l’approbation de la politique de trahison qui lie notre pays aux égorgeurs du FLN qui ont tué 20.000 soldats français en sept ans.
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6.3 - Récit par le corps médical 1962 Mustapha - La tragédie du 26 mars 1962 |
III - Histoire et récits -
Lundi 26 mars 1962 à Alger.
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LA TRAGÉDIE
Prologue
Un quartier européen populaire d’Alger, Bab el Oued, est investi depuis plusieurs jours, à la suite d’une agression contre les forces de l’ordre. Ses 75.000 habitants sont séparés par un blocus rigoureux du reste du monde. L’occupation est sévère : une motion des Doyens de facultés et de notables parle à juste titre de « répression aveugle ». La population d’Alger multiplie ses efforts et ses démarches pour leur venir en aide. Mais c’est en vain : les barrages s’opposent à l’entrée de qui que ce soit, à l’intérieur du périmètre interdit.
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6.4 - Récit Yves Courrière : ce lundi 26 mars 1962 à Alger |
III - Histoire et récits -
Lundi 26 mars 1962 à Alger.
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Dès l’aube le général Capodano, responsable militaire du maintien de l’ordre dans le grand Alger, prend des mesures rendues nécessaires par l’interdiction de la manifestation.
Outre les 25 escadrons de la gendarmerie mobiles, les compagnies de CRS et les bataillons d’infanterie qu’il a à sa disposition, il fait appel à des éléments du 4ème R.T. du colonel Goubard. On se souvient du rôle du colonel lors des journées d’avril 1961 auprès du général Arfouilloux dont il était l’adjoint à Médéa. Après le putsch Goubard a pris le commandement du 4èmre RT, formé en grande majorité de tirailleurs musulmans. De la fin de la trêve unilatérale au 19 février 1962, le 4ème RT a fait la chasse aux « fell » dans la partie ouest de l’Ouarsenis et dans le secteur de Boghar. Du 19 février au 23 mars, il a fait de la présence comme toutes les autres unités de secteur. Etant une unité de réserve générale, ses compagnies sont éparpillées de Rocher Noir à Djelfa.
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6.5 - Le film de la tragédie - Après les avions sur Bab El Oued, les navires dans la Baie d'Alger |
III - Histoire et récits -
Lundi 26 mars 1962 à Alger.
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Après les avions, les navires ont été requis eux aussi. C'était deux escorteurs de l'Escadre de Méditéranée qui participaient alors à des exercices (une photographie prise, ce jour là, par un algérois, nous les montre). L'un d'eux était le "Surcouf" Escorteur d'Escadre D621, batiment Amiral, placé face à Bab El Oued . Il a tourné ses canons vers le large, c'est à l'honneur de la Marine et mérite d'être connu.
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