AccueilPlan du siteRechercher
Livre d'OrContact

* ALGER 26 MARS 1962 - IV - Date emblématique d'un massacre collectif de nationaux

Au commencement  Bab El Oued Au commencement Bab El Oued
Lundi 26 mars 1962 à Alger Lundi 26 mars 1962 à Alger
Sur le terrain : le 4ème R.T., les C.R.S, l'aviation, les gaz... Sur le terrain : le 4ème R.T., les C.R.S, l'aviation, les gaz...
Bloody Sunday Bloody Sunday

*ALGER 26 MARS 1962 - V - Les victimes : les morts les blessés les disparus

Recherches aux archives d'Outre-mer. Recherches aux archives d'Outre-mer.
Les victimes de Bâb El Oued. Les victimes de Bâb El Oued.
Alger 26 mars : les morts et les blessés. Alger 26 mars : les morts et les blessés.
Mars 1962-C'était tout ce poids dans la tête...
5.1 - Les porteurs de valises
III - Histoire et récits - Mars 1962-C'était tout ce poids dans la tête...

« Pas cher, le porteur ! »

Extrait et dessin de Qué Rabia, de Jean Brua
...

DODIÈZE — Alliés du félène, des Français de France ? Si ça s’rait vrai, c’est à Télé-Barberousse qu’on les oirait, au lieur de T.S.F. 1, Bacchanal Plus, Artère 5 ou va saoir quelle chaîne... Et d’abord, pourquoi « porteurs de valises » ?

Lire la suite...
 
5.2 - Les barbouzes : les Français avaient leurs "tontons Macoute"
III - Histoire et récits - Mars 1962-C'était tout ce poids dans la tête...

« Un crime sans assassins » - “Les Algérois au 26 mars 1962”
Introduction de Marie Jeanne REY

Et puis il y avait les barbouzes. Le Gouvernement en était si peu fiers que pendant des années il nia jusqu’à leur existence. Pourtant ils étaient là et bien là. Certains influencés par de célèbres romans policiers, imaginent que les barbouzes étaient des agents secrets, des espions de haute volée, des James Bond français. La réalité était tout autre. Sous couvert d’un organisme officieux, le MPC (Mouvement pour la communauté), des agents gouvernementaux avaient recruté ce qu’ils avaient trouvé, des Vietnamiens ramassés on ne sait où, des musulmans du FLN et de jeunes voyous français de petite envergure mais de grande cruauté.

Lire la suite...
 
5.3 - Les barbouzes : témoignage de Yan ZIANO
III - Histoire et récits - Mars 1962-C'était tout ce poids dans la tête...

Le mercredi 20 février 1963, lors du procès de l'attentat du petit Clamart qui se déroulait au Tribunal du Fort-Neuf de Vincennes, comparaissait Jean ZIANO (1) (2) devant la Cour Militaire de Justice.
Le mercredi 20 février1963, se présentait à la barre du procès dit "du Petit Clamart", Monsieur Jean Ziano, 40 ans, employé de commerce, domicilié à la Santé. C
e témoin était cité pour la Défense. Il s’était évadé en novembre 1961 , plâtré, de l’hôpital Mustapha d’Alger. Le commandant Niaux l’hébergea. La Défense a beaucoup insisté pour qu’il soit entendu car ces relations avec le commandant et le récit qu’il lui fit des sévices dont il avait été victime au cours de ses interrogatoires à Alger, exercèrent, en effet, une influence profonde sur l’officier qu’on devait retrouver pendu dans sa cellule - sans que les circonstances de cette mort tragique aient (encore) été éclaircies.

Nous reproduisons, ci-dessous, un extrait sténographique du compte rendu de l’audience du 20 février.

Lire la suite...
 
5.4 - Les barbouzes : témoignage de Jacques GOSSELIN
III - Histoire et récits - Mars 1962-C'était tout ce poids dans la tête...

Je suis métropolitain, né le 2 octobre 1935. Après 28 mois de service militaire en Algérie, notamment dans le sud oranais, j’ai été démobilisé et j’ai trouvé un emploi de chef de chantier à l’U.A.T.P.

Je travaillais au lycée de Maison Carrée sur un chantier. En m’y rendant le 29 janvier 1962, vers 8 heures du matin, avec la camionnette de mon entreprise, je m’arrêtai à un feu rouge juste avant le pont de Maison Carrée. A ma hauteur vint s’arrêter une “Chambord” dans laquelle il y avait trois Européens et un Vietnamien. Ils me regardèrent avec insistance.

Lire la suite...
 
5.5 - Ces tortures en ces lieux maudits : l'école de police d'Hussein Dey et la caserne des Tagarins
III - Histoire et récits - Mars 1962-C'était tout ce poids dans la tête...

"Un crime sans assassins" - Introduction - Marie-Jeanne REY.

Il nous faut aussi aborder le chapitre des tortures qui bouleversaient la population, elles étaient notoires. L’Armée n’y eut aucune part, ni les fonctionnaires de police locaux qui d’ailleurs furent bien vite déplacés. Originaires du pays ou installés de longue date, ils partageaient les sentiments des Algérois et ne désiraient pas leur faire tort. Le Gouvernement envoya des policiers, inspecteurs et commissaires dont le séjour était limité à deux mois, ils étaient casernés à l’école de police d’Hussein-Dey, ils n’en sortaient pas souvent et jamais sans escorte.

Lire la suite...
 
<< Début < Précédent 1 2 3 4 Suivant > Fin >>

Page 1 sur 4

Compteur de visites

Visteurs du site :9998702

Image au hasard