Investigations - Communications.
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2.1 - La blessure mortelle de l’Algérie française - Jean BRUA - mars 1987 |
XI - Bibliothèque -
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Dans deux mois des dizaines de milliers de Pieds-noirs, rassemblés à Nice pour ce qui s’annonce la plus forte concentration de l’histoire des diasporas, célèbreront le vingt cinquième anniversaire de leur naissance à une nouvelle vie : leur condition de « rapatriés ». C’est au début de l’été 62, en effet, qu’un million de Français qui se croyaient d’Algérie comme d’autres sont de Bretagne, d’Auvergne ou de Provence, se sont découverts Français tout court, si l’on peut dire, dans l’hébètement qui succédait à sept ans de remous d’histoire, où la nation toute entière s’était trouvée ballottée.
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2.2 - Enquête d'une tragedie par José CASTANO |
XI - Bibliothèque -
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Au soir de cette journée meurtrière, le Ministre de l’intérieur, Roger FREY, téléphona au préfet Vitalis CROS et lui dit : « Faites le maximum pour que la stricte vérité soit connue. Tout m’a été expliqué : l’Élysée est au courant et puisqu’il n’y avait pas moyen de faire autrement, soyez en paix, dites le à vos collaborateurs. » S’enorgueillissant de cet encouragement, le préfet s’adressa à la population bouleversée. « Les commandos de l’O.A.S. ont tiré, non seulement sur le service d’ordre, mais sur les manifestants. Force est restée à la loi ! »Le lendemain, FOUCHET – au mufle de primate – renchérira : « la cause de l’O.A.S. est archi perdue. Il faut faire confiance à la France ! » Pour sa part, de GAULLE parlera de « l’émeute d’une foule algéroise furieuse de l’arrestation de JOUHAUD et qui ne put être dispersée que par le feu meurtrier des troupes. » (Dans la soirée du 25 mars, le général JOUHAUD fut arrêté à Oran ainsi que le commandant CAMELIN. La veille, déjà, le lieutenant de vaisseau GUILLAUME avait connu le même sort à Tlemcen). Que d’infamies dans ces déclarations. Moins de 24 heures après le drame, le 27 mars, le bureau de presse du général commandant supérieur des forces armées en Algérie (AILLERET) rendait – déjà – public les premiers résultats de l’enquête sur les circonstances exactes de « l’ouverture du feu. » Cette enquête qui puait le canular établissait que :
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2.3 - Les oubliés de la Guerre d'Algérie de Raphaël DELPARD. |
XI - Bibliothèque -
Investigations - Communications.
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Edité chez Michel LAFON - janvier 2003 -
"Le drame des Pieds-noirs se résume en une phrase : c’étaient des gens travailleurs, pugnaces, inventifs et joyeux de vivre mais qui ne s’intéressaient pas à la politique ..."
"J’ai enquêté sur les disparus et les appelés du contingent qui ont été torturés par le FLN après le 19 mars. Ce jour-là, le FLN a gagné la guerre contre la France et les accords d’Evian ont scellés cette paix mais la guerre, d’une certaine façon a continué.
"Je dénonce également les accords secrets entre le gouvernement de la métropole et le FLN conclus afin d’inciter les pieds-noirs à quitter l’Algérie au plus vite ...
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2.4 - Au commencement était le mensonge - Massacres organisés de José Arnau |
XI - Bibliothèque -
Investigations - Communications.
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José ARNAU et Josette PATERNA
Au commencement était le mensonge 31 octobre 2004 Massacres organisés : Rue d’Isly 26 mars 1962 - Oran 5 juillet 1962
pour joindre les auteurs
Nos certitudes de Français d’Algérie étaient bien ancrées en nous:nous croyions en la solidarité du peuple français, en nos élus, en la glorieuse armée française, en l’Algérie française éternelle.
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